En vrac
1/ Scoop agricole
Vu hier Robin Renucci au Théâtre des Bouffes du Nord dans « Le Pianiste ». (Il ne vous reste qu’une semaine pour assister à ce spectacle d’une rare finesse et d’une grande émotion.)
Scoop pour les bloggeurs de l’Oizo : son film « Sempre Vivu », dont je vous ai déjà parlé, viens de recevoir le prix spécial du jury du Festival… AGRICINEMA décerné lors du récent salon de l’agriculture.
Bravo à Robin, en attendant la sortie en salle prévue en juin prochain.
2/ L’argent de la culture
Lu dans Le Monde : « environ 78% des Français souhaitent une augmentation du budget de la culture, selon un sondage LH2 pour 20 minutes et RMC. L’argent public de la culture doit, selon les sondés, servir en priorité à organiser des événements à l’école (62%)… »
Quand on vous dit qu’il se passe quelque chose dans la prise de conscience de l’importance de l’éducation artistique et culturelle !
3/ Qui a dit ?
La réponse est ici
Vu hier Robin Renucci au Théâtre des Bouffes du Nord dans « Le Pianiste ». (Il ne vous reste qu’une semaine pour assister à ce spectacle d’une rare finesse et d’une grande émotion.)
Scoop pour les bloggeurs de l’Oizo : son film « Sempre Vivu », dont je vous ai déjà parlé, viens de recevoir le prix spécial du jury du Festival… AGRICINEMA décerné lors du récent salon de l’agriculture.
Bravo à Robin, en attendant la sortie en salle prévue en juin prochain.
2/ L’argent de la culture
Lu dans Le Monde : « environ 78% des Français souhaitent une augmentation du budget de la culture, selon un sondage LH2 pour 20 minutes et RMC. L’argent public de la culture doit, selon les sondés, servir en priorité à organiser des événements à l’école (62%)… »
Quand on vous dit qu’il se passe quelque chose dans la prise de conscience de l’importance de l’éducation artistique et culturelle !
3/ Qui a dit ?
« Pourquoi l'absence de véritable débat, en cette période de campagne électorale, sur la place de l'art et de la culture dans notre société, est-elle un symptôme historique extrêmement inquiétant ? Parce qu'elle annonce, pour la première fois depuis la Libération, le risque d'abandon de ce qui constitue une part fondamentale de l'histoire de notre pays. Une part de notre histoire dont est issue la valeur accordée en France à la pensée, à travers notre littérature, notre théâtre, les arts et leur circulation, dans la vision du monde que nous partageons et la place que nous avons su leur donner dans notre vie réelle. Une valeur accordée aux choses de l'esprit qui fut longtemps un exemple pour le monde occidental. Cette absence fait planer une menace de défaite devant l'invasion délétère de l'esprit marchand imposé par ce que l'on nomme «globalisation» …
La réponse est ici