Splendeurs et misères des courtisanes
ADAPTATION ET MISE EN SCÈNE Lazare Herson-Macarel
COLLABORATION ARTISTIQUE Morgane Nairaud
COSTUMES Manon Naudet
RÉGIE GÉNÉRALE Thomas Chrétien
ADMINISTRATION ET PRODUCTION Lola Lucas assistée de Léonie Lenain
DISTRIBUTION
Valentin Boraud : Lucien de Rubempré
Pauline Bolcatto : Mme de Mortsauf / Europe / Eve Séchard
Julien Campani : Lousteau / Corentin
Philippe Canales : Carlos Herrera / Jacques Collin
Baptiste Chabauty : Du Tillet / David Séchard / Camusot
Thomas Chrétien : Georges / Groom / Etienne
Léo Cohen-Paperman : M. de Sérizy / M. le Maire
Emilien Diard-Detœuf : Rastignac / Duc de Grandlieu
Clovis Fouin : Baron de Nucingen
Joseph Fourez : Vernou / Paccard / Duchesse de Grandlieu / Les libraires / Lebrun
Elsa Grzeszczak : Delphine de Nucingen / Clotilde de Grandlieu / Mme de Bargeton
Sophie Guibard : Asie
Lazare Herson-Macarel : Nathan
Frédéric Jessua : Balzac
Morgane Nairaud : Mme de Sérizy / Lydie
Antoine Philippot : Du Châtelet / Peyrade / Chanteur d’opéra
Julien Romelard : Bixiou / Derville / Commissaire de police / D’Arthez
Claire Sermonne : Esther
Sacha Todorov : De Marsay / Gault / Camusot Père
Avec Splendeurs et misères des courtisanes, la suite directe des Illusions perdues, Balzac nous entraîne dans un roman d’aventures haletant et féroce. Lucien a été sauvé par Carlos Herrera, ancien forçat déguisé en prêtre espagnol. Notre poète est amoureux d’Esther, sublime courtisane assoiffée de pardon et d’amour. Mais Nucingen, richissime banquier d’affaires, rencontre Esther à son tour, et cherche à la conquérir par tous les moyens…
Le Paris d’avant la révolution de 1830 devient une jungle où les personnages de La Comédie humaine se livrent une lutte sans merci. Mais regardons d’un peu plus près : ce monde traversé de forces contraires, ce monde de splendeurs et de misères, n’est-ce pas aussi le nôtre ?